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Avignon 1996-94

 

FESTIVAL D'AVIGNON 1996                                                                                   bas de page

Création de  Moments Nomades, reprise de Terre du Ciel (1993).

« En accueillant les Hivernales, le Festival d'Avignon rend hommage à une admirable chorégraphe méconnue :
Ingeborg Liptay...  dont on salue avec bonheur l'apparition au Festival.
L'hommage qu'on lui rend, en la conviant à Avignon, est bien la chose la plus juste qui soit ».

Raphaël de Gubernatis. Le Nouvel Observateur. 21-27 juillet 1996. 

« Quand on connaît la région où elle vit, (la haute vallée de l'Hérault), on comprend sa danse dédiée à l'invisible,
hantée par la poésie de Max Rouquette, autre habitant de cette contrée escarpée...
Ingeborg Liptay bouge comme une étoile dans la nuit.
La scène est sombre, des éclairs de couleur zèbrent le mur du fond de la Chapelle des Pénitents Blancs.
Sa danse se déroule s'enroule au sol pour mieux souligner l'instant où elle se déplie, se déploie...
Une grande dame dans le silence de sa gloire ».

Dominique Frétard. Le Monde. 21-22 juillet 1996.

« Ce prodige de concentration souveraine, d'aisance durement acquise et méditée, se nomme Ingeborg Liptay.
Elle enseigne la danse à Montpellier et chorégraphie.
Dans ses rares productions, elle incarne les origines les plus fécondes de la danse contemporaine,
qui prend sa racine chez Mary Wigman, dont Ingeborg Liptay reçut l'enseignement par Karin Waehner,
à la Schola Cantorum à Paris, et par Kurt Joos à l'Ecole d'Essen ».

Le Rouzic. La Marseillaise. 22 juillet 1996.

FESTIVAL LES HIVERNALES - AVIGNON 1994

No Man's Land et Terre du ciel (1993). 

« Tout comme l'oiseau ne peut s'envoler que s'il prend appui sur la branche,
Ingeborg Liptay "s'appuie" sur une technique impressionnante, faite d'ouverture du corps, de souplesse, d'équilibre.
Des formes qui paraissent impensables ».

Mitzi Gerber. Vaucluse Matin. 4 Mars 1994.

« Parmi les plus beaux moments, le solo d'Ingeborg Liptay, danseuse athlétique et métaphysique à la fois,
toute de tensions et sinuosités aiguës, où il semble que l'âme veuille se jeter hors du corps ».

Bernard Raffalli. Globe hebdo. 9 - 15 mars 1994.

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